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INSTRUCTION N°004/97/CSBF du 2 juin 1997
relative
aux règles de provisionnement des risques des établissements de crédit
Article
premier - Objet de l’instruction
La présente
instruction a pour objet de préciser, en application des dispositions de
l’article 41 de la loi n° 95-030 relative à l’activité et au contrôle des
établissements de crédit, les règles de constitution des provisions destinées à
couvrir les risques-clientèle des établissements de crédit.
Art. 2 - Principe
de constitution
En vertu du
principe de prudence, il doit être constitué, des constatations du risque et en
tout état de cause lors de la revue du portefeuille à l’arrêté de chaque
exercice, des provisions pour dépréciation des créances douteuses, litigieuses
ou contentieuses sur la clientèle afin d’anticiper les pertes probables
encourues par l’établissement.
Ces provisions
doivent être estimées à partir des informations disponibles à la date de la
revue du dossier.
Art. 3 -
Règles de classement en créances douteuses, litigieuses ou contentieuses
1°
Pour l’application de la
présente instruction, on entend par créances douteuses, litigieuses ou
contentieuses, les créances de toute nature, même assorties de garanties,
répondant à l’une des caractéristiques suivantes :
créances présentant un risque
probable ou certain de non recouvrement partiel ou total ;
créances donnant lieu à un
recouvrement litigieux (litige sur la réalité ou la consistance de la
créance) ;
créances ayant un caractère
contentieux (dépôt du bilan du débiteur, ouverture d’une procédure de
liquidation ou de règlement judiciaire à l’encontre de celui-ci, procédure de
recouvrement judiciaire en cours).
Le caractère douteux, litigieux ou contentieux se
rattache à la personne même du débiteur, ce qui a pour conséquence de rendre
l’ensemble de ses dettes vis-à-vis de l’établissement, “douteux”, “litigieux”
ou “contentieux”, y compris la partie non encore échue de celles-ci. Toutefois,
les valeurs escomptées et non échues - effets commerciaux, mobilisations de
créances sur l’étranger, acceptées par le tiré et sur lesquelles un incident de
paiement apparaît improbable peuvent être maintenues dans les encours sains.
2°
En tout état de cause, doivent
être classés en créances douteuses, litigieuses ou contentieuses les concours
présentant les caractéristiques suivantes :
les crédits amortissables dont les
échéances sont et demeurent impayées depuis plus de trois mois ;
les découverts dont le taux de
rotation, déterminé sur six mois suivant les modalités définies en annexe,
excède 180 jours ;
les impayés sur valeurs escomptées
(papier commercial local, mobilisation de créances sur l’étranger) qui n’ont pu
être imputés au remettant, faute de provision suffisante, dans un délai de 60
jours à compter de la constatation du défaut de paiement ;
les paiements effectués par
l’établissement pour compte d’un client au titre d’une garantie émise en faveur
de celui-ci et non couverts par le client depuis plus de trois mois.
Il ne peut être dérogé à ces règles que pour les
concours présentant les caractéristiques ci-avant mais pour lesquels peut être
établie avec certitude l’absence de caractère douteux, litigieux ou contentieux
de la créance.
3°
En cas de conclusion d’un
accord de rééchelonnement ou de consolidation de créances douteuses,
litigieuses ou contentieuses, les créances en cause ne peuvent être reclassées
dans les encours sains qu’aux conditions suivantes :
remboursement préalable par le
débiteur sur ses fonds propres d’au moins 10 p. 100 de la créance arrêtée après
négociation ou de la totalité des intérêts arriérés inclus dans celle-ci s’ils
excèdent 10 p. 100 de la créance ainsi arrêtée ;
à défaut, au terme d’une période
probatoire de six mois à compter de la première échéance du crédit de
consolidation, durant laquelle le débiteur aura honoré ponctuellement les
échéances du crédit.
4°
Sauf pour les encours d’un
montant modique au regard des frais des procédures à engager ou pour les
créances faisant l’objet d’un abandon partiel dans le cadre d’une consolidation,
l’apurement de créances douteuses, litigieuses ou contentieuses par transfert
hors comptabilité est subordonné à l’épuisement préalable de tous les moyens de
droit auxquels peut recourir l’établissement créancier. L’inventaire des
créances apurées d’un montant supérieur ou égal à 100 millions de francs
malgaches, y compris les créances ayant fait l’objet d’un abandon partiel,
accompagné d’un historique de chaque
dossier et des diligences accomplies par l’établissement est adressé au
Secrétariat Général de la CSBF dans un délai d’un mois suivant l’imputation de
l’opération en comptabilité.
Dans tous les cas, l’apurement doit être effectué
par l’imputation, d’une part, du montant brut de la créance au débit selon le
cas des comptes “672 - Créances irrécupérables couvertes par des provisions” ou
“673 - Créances irrécupérables non couvertes par des provisions”, d’autre part,
le cas échéant, des provisions et des agios réservés au crédit au du compte
“ 7871 - Reprises de provisions utilisées sur créances douteuses,
litigieuses ou contentieuses”.
Art. 4 -
Provisionnement des créances douteuses, litigieuses ou contentieuses.
1°
Les créances douteuses,
litigieuses ou contentieuses sont à provisionner en fonction de leur valeur de
recouvrement réelle.
La valeur de recouvrement réelle désigne la valeur
brute de la créance - c’est-à-dire le montant du capital ainsi que des intérêts
courus et échus - sous déduction du risque de perte probable ou certain et des
agios réservés. L’évaluation doit évidemment tenir compte de la valeur réelle
des garanties, c’est-à-dire de la valeur de réalisation sur le marché, ainsi
que de leur possibilité effective de réalisation.
1°
Sous réserve des dispositions
de l’article 4.3, le montant de la provision est à déterminer :
au cas par cas et au vu des
éléments du dossier pour les concours excédant un seuil fixé par la direction
générale, qui en rend compte au Secrétariat Général de la CSBF. Ce seuil devra
être déterminé de telle sorte qu’il assure une revue individuelle de
l’essentiel des engagements de l’établissement ;
par échantillonnage, à défaut
d’une revue intégrale, pour les encours inférieurs au seuil visé à l’alinéa
précédent ; le résultat du sondage fera l’objet d’une extrapolation pour les
risques non examinés.
En tout état de cause, les échéances sur crédits amortissables
impayées depuis plus de trois mois sont à provisionner intégralement.
Une fiche
d’évaluation selon le modèle en annexe 2 doit figurer dans le dossier des
clients classés douteux, litigieux ou contentieux.
2°
Les découverts présentant les
caractéristiques énoncées à l’article 3.2 sont provisionnés, pour l’encours net
de la valeur des garanties éventuelles, selon les quotités suivantes :
40 p. 100 au moins lorsque le
délai de rotation pour le dernier semestre est compris entre 180 et 240
jours ;
60 p. 100 au moins lorsque ce
délai est supérieur à 240 jours sans excéder 365 jours ;
100 p. 100 lorsque ce délai excède
365 jours.
3°
La valeur des garanties prise
en compte pour déterminer le risque final encouru sur les créances compromises
fait l’objet des réfactions suivantes en l’absence de réalisation de ces
garanties :
pour les garanties immobilières :
25 p. 100 lorsqu’elles n’ont pas été réalisées dans un délai de 18 mois suivant
le classement de la créance en créances douteuses, litigieuses ou
contentieuses, 50 p. 100 lorsque ce délai atteint 24 mois, 100 p. 100 lorsque
ce délai excède 36 mois ;
pour les autres garanties : 25 p.
100 lorsqu’elles n’ont pas été réalisées dans un délai de 12 mois suivant le
classement de la créance en créances douteuses, litigieuses ou contentieuses,
50 p. 100 lorsque ce délai atteint 18 mois, 100 p. 100 lorsque ce délai excède
24 mois.
4°
En application des
dispositions du Plan Comptable Bancaire, les intérêts et les commissions
décomptés le cas échéant sur les créances douteuses, litigieuses ou
contentieuses sont portés au crédit du compte “326 - Intérêts sur créances
douteuses, litigieuses ou contentieuses”. La fraction courue et non échue des
intérêts et commissions relatifs à ces créances ne doit pas être comptabilisée
lors des arrêtés périodiques des comptes de l’établissement.
Art. 5 -
Règles de procédure
Les dérogations éventuelles
aux dispositions des articles 3.2, 4.3 et 4.4, le reclassement en créances
saines des concours visés à l’article 3.3 et les apurements de créances visés à
l’article 3.4 font l’objet d’une décision écrite et motivée, signée par un
responsable ayant les pouvoirs nécessaires pour ce faire, approuvée par l’unité
responsable de l’audit interne des engagements et visée par la Direction
Générale.
Art. 6 -
Cas des créances saines
Les créances
saines peuvent faire l’objet de provisions forfaitaires pour risques généraux,
à l’initiative de l’établissement de crédit.
Art. 7 -
Comptabilisation des provisions
1°
Les provisions constituées en
francs malgaches pour créances douteuses, litigieuses ou contentieuses
libellées en franc malgache ou en devises sont comptabilisées à un compte
créditeur et viennent en déduction des comptes d’actif correspondants.
Ecritures à
passer :
débit : 6811 Dotations aux
provisions pour créances douteuses, litigieuses ou contentieuses (CDL) ;
crédit : 291 ou 292 Provisions
pour CDL.
A la
fin de chaque exercice, il est nécessaire d’ajuster le montant de la provision
en fonction de l’évolution de la situation du dossier, soit en l’augmentant
(voir schéma ci-dessus) soit en la diminuant par une reprise de provision comme
suit :
débit : 291 ou 292 Provisions pour
CDL ;
crédit : 7811 Reprise de
provisions pour CDL.
2°
Les provisions constituées en
devises pour créances douteuses, litigieuses ou contentieuses en devises
suivent le même régime sous réserve des particularités suivantes :
Schéma type
d’écritures pour la comptabilisation des provisions :
Débit : 12... Correspondants
étrangers
ou débit d’un compte de
compensation MID/transactions en devises (enregistrement des devises
achetées)
Crédit : 291 ou 292 Provisions
pour CDL (en devises)
ET
Débit 6811 Dotations aux
provisions pour créances douteuses, litigieuses ou contentieuses
(enregistrement en comptes de résultats du prix d’achat en FMG des
devises)
Crédit : 1100 Banque Centrale
ou crédit d’un compte de
compensation MID/transactions en FMG
(paiement en FMG des devises
achetées).
Schéma type d’écritures en cas de reprises de provisions en
devises :
Débit : 291 et 292 Provisions pour
CDL (en devises)
Crédit : 12... Correspondants
étrangers
ou crédit d’un
compte de compensation MID/transactions en devises (cession de la fraction à
reprendre de la provision en devises)
ET
débit : 1100 Banque Centrale
ou débit d’un compte de
compensation MID/transaction en FMG (réception des FMG en contrepartie des
devises vendues)
crédit : 7811 Reprises de
provisions pour CDL (enregistrement en comptes de résultats du prix de vente
des devises)
3°
Quant aux provisions pour risques
généraux, elles sont portées au crédit d’un compte de passif et viennent
conforter les fonds propres disponibles.
Ecritures à
passer :
débit : 6813 Dotations aux
provisions pour risques généraux ;
crédit : 551 Provisions pour
risques généraux.
Art. 8 -
Dispositions d’entrée en vigueur
1°
Les établissements de crédit
qui recourent à des procédures autres que celles prévues par la présente
instruction pour le déclassement et le provisionnement des découverts et dont
l’efficacité est jugée équivalente peuvent demander au Secrétariat Général de
la CSBF l’autorisation de continuer à utiliser ces procédures. La demande est
étayée d’une description précise du système mis en œuvre et de tous éléments
d’appréciation utile.
2°
Les établissements de crédit,
où la mise en œuvre des présentes dispositions poserait des problèmes
techniques, devront soumettre au Secrétariat Général de la CSBF les mesures
transitoires envisagées pour pallier ces difficultés de manière acceptable. Au
vu des justificatifs présentés, le Secrétaire Général pourra accorder un délai
pour la mise en application des dispositions de l’instruction.
3°
Cette instruction annule et
remplace toutes dispositions antérieures et contraires, notamment l’instruction
n°001/95 - CCBEF du 15 Mars 1995.
ANNEXE 1 A
L’INSTRUCTION N° 004/97/CSBF
relative au
provisionnement des risques
DELAIS DE ROTATION
DES DECOUVERTS
Modalités de
calcul
I - PRINCIPES
Le délai de
rotation est le nombre de jours que nécessiteraient les crédits imputés à un
compte pour apurer le solde débiteur de ce compte. Il est égal au rapport du
solde moyen débiteur journalier sur une période donnée aux mouvements
créditeurs moyens quotidiens sur la même période. Il est calculé pour tous les
comptes ordinaires et comptes courants de la clientèle dont le solde est
demeuré constamment débiteur sur six mois consécutifs. En cas de pluralité de
comptes de cette nature au nom d’un même client, le délai de rotation est
déterminé sur la base des soldes fusionnés. Le délai de rotation est calculé à
la fois sur chacun des six derniers mois et sur l’ensemble du semestre
considéré par application des formules suivantes, ou de tout autre formule
équivalente :
DELAI
DE ROTATION = = n jours |
Soit
|
Solde débiteur moyen quotidien de la période Montant moyen quotidien des mouvements au crédit
du compte sur la période Solde débiteur moyen x nombre de jours de la période
Total des Mouvements au crédit du compte sur la période |
Le solde
débiteur moyen est égal au cumul des soldes débiteurs quotidiens de la période
considérée (mois ou semestre) rapporté au nombre de jours de la période. Le
nombre de jours à retenir est :
le nombre de jours calendaires si
la base de données utilisée par l’établissement permet d’intégrer les soldes
des jours non ouvrés (tels les fichiers de calcul des échelles d’intérêts),
le nombre de jours ouvrés dans le
cas contraire (calculs effectués sur la base des fichiers de comptabilité
auxiliaire).
Le montant
moyen des mouvements au crédit du compte correspond au total de ces mouvements
sur la période considérée, divisé par le nombre de jours calendaires de la
période. Les établissements assujettis devront prendre les mesures appropriées
pour neutraliser les mouvements ayant fait l’objet d’annulations ultérieures.
Les résultats
sont édités sur fiche conforme au modèle suivant, versés au dossier du client :
NOM
ET REFERENCES DU CLIENT
|
Solde Débiteur |
Mouvements |
Solde fin du mois |
Délai de rotation |
|||
MOIS |
maximum |
minimum |
moyen |
Au
débit |
au crédit |
|
|
semestre précédent m 1 m 2 m 3 m 4 m 5 m 6 semestre |
|
|
|
|
|
|
|
Sauf exception dûment justifiée,
les découverts dont le délai de rotation sur le semestre excède 180 jours sont
classés en créances douteuses, ainsi que tous les autres concours dont peut
bénéficier le client, et le cas échéant provisionnés.
II - EXEMPLES
(calculés sur une base de 30 jours calendaires par mois)
Exemple 1
(millions) |
Solde Débiteur |
Mouvements |
Solde fin du mois |
Délai de rotation |
|||
MOIS |
maximum |
minimum |
Moyen (1) |
au débit |
au crédit (1) |
|
[(1)x30j/(2)] |
report |
|
|
|
|
|
-100 |
|
m 1 m 2 m 3 m 4 m 5 m 6 semestre |
125 105 110 85 66 95 125 |
65 72 45 25 12 44 12 |
92 94 72 40 27 50 62.5 |
87 56 47 55 75 67 387 |
70 76 75 90 95 25 431 |
-117 -97 -69 -34 -14 -56 -56 |
39 jours 37 jours 29 jours 13 jours 9 jours 60 jours 26 jours |
Le délai de rotation varie de 9 à
60 jours et ressort en moyenne à 26 jours. Compte fonctionnant souplement.
Alourdissement
le dernier mois à analyser.
Exemple 2
(millions) |
Solde Débiteur |
Mouvements |
Solde fin du mois |
Délai de rotation |
|||
MOIS |
maximum |
minimum |
Moyen (1) |
au débit |
au crédit (1) |
|
[(1)x30j/(2)] |
report |
|
|
|
|
|
-100 |
|
m 1 m 2 m 3 m 4 m 5 m 6 semestre |
125 140 143 147 152 153 153 |
100 121 138 138 138 147 100 |
110 133 143 142 145 152 137.5 |
25 20 10 15 12 5 87 |
5 2 - 25 4 2 38 |
-120 -138 -148 -138 -146 -149 -149 |
660 js 1995 js infini 170 js 1088 js 2280 js 651 js |
Compte quasiment gelé, en dépit
de rentrées ponctuelles en m 4. A classer en CDL et à provisionner à 100 p. 100
pour le montant non couvert par des garanties, sauf décision contraire fondée
sur des éléments objectifs.
Exemple 3
(millions) |
Solde Débiteur |
Mouvements |
Solde fin du mois |
Délai de rotation |
|||
MOIS |
maximum |
minimum |
Moyen (1) |
au débit |
au crédit (1) |
|
[(1)x30j/(2)] |
report |
|
|
|
|
|
-100 |
|
m 1 m 2 m 3 m 4 m 5 m 6 semestre |
125 105 110 85 475 600 500 |
65 72 45 26 32 449 25 |
92 94 72 40 270 475 187.7 |
87 56 47 55 510 67 822 |
70 76 75 90 95 25 431 |
-117 -97 -69 -34 -449 -491 -491 |
39 js 37 js 29 js 13 js 85 js 570 js 78 js |
Compte
normal mais dont la situation s’est fortement dégradée à partir de m 5 suite à
des débits importants.
Origine et perspectives de
normalisation à analyser.
ANNEXE 2 A
L’INSTRUCTION N° 004/97/CSBF
relative au
provisionnement des risques
Etablissement :
Evaluation des provisions :
Exercice :
Nom ou raison sociale : Activité : Groupe : |
Date de la dernière
vérification : Organisme réviseur : |
Date d’entrée en relation: Cotation : Précédente
Actuelle Créance douteuse depuis le : Relevé des incidents de
paiements (chèques, effets) depuis 12
mois : |
Cotation des dirigeants : Signature admise Admise avec réserve Ecartée |
Nature des Concours |
Montant brut (capital + intérêts) |
Provisions |
Agios réservés |
Montant
net |
Récupérations estimées |
||
|
|
|
|
|
|
||
Totaux |
|
|
|
|
|
||
Evaluation des
garanties et autres éléments de recouvrement |
Montant brut |
Evaluation[1] |
|||||
Hypothèques Garanties espèces ou titres : Bons du Trésor Bons de caisse Dépôts à terme Autres Nantissements réguliers de
stocks Nantissement de matériels et/ou
de fonds de commerce Contre-garanties reçues
d’autres établissements Autres garanties hors
délégation d’assurances (à détailler) |
|
|
|||||
Totaux |
|
|
|||||
Engagements
non provisionnés ni couverts par des garanties |
Provisions à
constituer |
Résumé de la situation financière de la
relation :
Evolution de
certains paramètres financiers
|
Année 199. |
Année 199. |
Année 199. |
Actif net |
|
|
|
Fonds de roulement |
|
|
|
Besoin en fonds de roulement |
|
|
|
Trésorerie nette |
|
|
|
Chiffre d’affaire (CA) |
|
|
|
Mouvements conflués |
|
|
|
Valeur ajoutée |
|
|
|
Frais généraux |
|
|
|
Frais financiers |
|
|
|
Résultat brut d’exploitation (RBE) |
|
|
|
Résultat net |
|
|
|
RBE/CA (en p. 100) |
|
|
|
Frais Financiers/CA (en p. 100) |
|
|
|
Commentaires :
Etat des démarches auprès de la relation :
Date |
Procédures de
recouvrement |
Résultats |
|
|
|
Conclusion :